La lime aime bien les petits nenfants…

Voici des propos  d’une brillante qualité intellectuelle inaccessible au commun des mortels (dont je préfère être, sous peine de perdre mon âme), que je vous demande d’analyser comme il se doit, et de prendre pour ce qu’ils sont (de la merde fumante et dégoulinante), en vous invitant par la suite à en étudier le contexte factuel et argumentaire qui vous ferait éventuellement défaut ici. Des fois qu’on son auteur me juge de mauvaise foi… moi qui n’en ai pas, ce serait un comble  ! En tous les cas pas  aussi… ultra-libérale. Inutile de vous préciser que je ne partage vraiment  pas ce point de vue.  A vomir, assurément. Une déjection, vous dis-je.

 

  

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Le travail des enfants est typiquement un sujet pour «belle âme» à la manière de Mlle Maurisse : on fait fi des réalités et on se donne bonne conscience sur le dos des autres. Bref, on est c.n.

Si les enfants travaillent, ce n’est pas par plaisir ou parce que les étrangers seraient plus méchants que nos grandes consciences (si confites dans leur supériorité morale, n’est-ce Mlle Maurisse ?), c’est pour le supplément de revenus pour leur famille. Les essais d’interdiction, sous l’impulsion des occidentaux, ont conduit à des abandons d’enfants. La belle victoire des «belles âmes» !

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