Se réjouir de la mort d’un homme plus grand qu’eux, tout ce qu’il reste à la pègre identitaire, qui montre ainsi la profondeur de sa noblesse d’âme : celle d’une fosse à purin.
Post-scriptum : j’ai omis de mettre dans la même benne à ordures cette trace de merde :
La négation de la Shoah et l’expression de l’antisémitisme étant un délit, que la justice fasse son travail. je garde les preuves au frais… D’autant plus que je sais où retrouver le dernier.
P.S. si vous aussi vous voyez des traces brunâtres sur le net, n’hésitez pas à les signaler : Pharos, c’est ici.
Post-scriptum : le putois du net vient d’en débusquer un autre… Antisémitisme, complotisme, obsession pour le pognon, tout y est. ça sent le dieudonniste soralien à plein nez. Cette boîte à vomi lui conviendra donc fort bien.
Voici le tweet qu’a posté récemment Frédéric Chatillon, facho notoire au pedigree chargé, proche des Le Pen :
Cet ancien responsable du GUD dans les années 1990, proche des Le Pen, créateur avec les nazis Ayoub et Soral de « Le Local », un bar qui abritait autrefois la fine fleur de la fachosphère , situé au 92 de la rue de Javel, est également dans le privé marié à une riche héritière, Marie d’Herbais de Thun, candidate FN aux municipales dans la Sarthe, qui se distingue par son antisémitisme notoire, et ses quenelles dieudonnistes en famille… Chatillon a également créé Riwal, une agence de communication « prestataire de services » du FN et impliquée judiciairement dans l’affaire de financement occulte du micro-parti Jeanne. La Gud connection dans toute sa splendeur, qui mine le FN, et dont Chatillon est l’un des piliers. La dédiabolisation, c’est maintenant.
Et donc, Monsieur Placé, ancien sénateur EELV de l’Essonne, conseiller régional d’Ile-de-France et, depuis février 2016, secrétaire d’État chargé de la réforme de l’État, fait des selfies avec ce charmant Monsieur…. sans commentaire.
post-scriptum : ah si, un seul : que veut dire cet étrange hashtag « #YannMoixbestfriend » ? Si Moix a de pareils amis, je comprends mieux…
C’est bien ce que j’ai toujours dit, écrit, pensé : la liberté d’expression, elle a bon dos. Et massivement évoquée, c’est un comble, par ceux qui précisément seraient les premiers à la supprimer s’ils parvenaient au pouvoir, comme l’histoire l’a clairement démontré. Tolérer le nazisme, fut-il saupoudré de « néo », c’est à mon sens faire l’apologie du terrorisme, accepter la guerre de tous contre tous, les progroms, la chasse aux musulmans dans nos rues, le tabassage des non-blancs, voire pire si affinités. Une démocratie réelle ne saurait tolérer cela. Elle a bon dos, la liberté d’expression…
«La crise financière sera résolue une fois que nous nous serons débarrassés de ces 3 millions d’immigrés. Ces parasites boivent notre eau, ils mangent notre nourriture et ils respirent notre air grec. Ils nous tuent ! Une fois qu’ils seront partis, nous aurons de l’argent pour augmenter les salaires et éliminer le chômage. Ce sont des miasmes, des sous-hommes. Nous n’en avons rien à faire d’eux. Nous sommes prêts à rouvrir les fours! Nous allons faire du savon d’eux, mais comme ce pourrait être un savon irritant pour la peau, nous ne l’utilisons que pour laver les voitures et les rues ».